L’Éternel, le DIEU est vivant !!!
S’il te plait, arme-toi du Saint Esprit pour lire ce témoignage jusqu’à la fin parce que quelque chose va t’arriver de très très bon, au nom de Jésus !!!
Journaliste de la presse écrite, mon boss, le directeur de publication, me confia à la rédaction, une juteuse affaire, le reportage sur les activités d’un serviteur de L’Éternel, Docteur Emassétché. Chaque semaine, je percevais la somme de cinquante mille Francs pour rédiger tous les prodiges que faisait cet homme de Dieu.
C’était les vendredis, sur un grand espace, sous plusieurs bâches face à un géant podium que Docteur Emassétché opérait de grands miracles. Les aveugles retrouvaient la vue ; Les sourds pouvaient entendre ; les boiteux marchaient et plein d’autres actions miraculeuses pour donner le bonheur aux malheureux. J’écoutais les témoignages parmi les milliers de personnes délivrées du mal par la main puissante de cet oint de Dieu que je transcrivais dans mon journal.
Satisfait de mon reportage dans mon journal, sur ses veillées de guérisons et de délivrances, Docteur Emassétché m’appela un jour dans son bureau. J’étais en face de sa belle secrétaire Julia. Elle me faisait des yeux doux et finit par me séduire. J’avais envie de la draguer mais je craignais qu’elle me repousse parce que je suis un païen endurci contre le christianisme. Et aussi, Je me disais qu’elle était trop belle pour moi.
Julia, la secrétaire, m’introduisit auprès de son patron. Docteur Emassétché me remit deux enveloppes après m’avoir longuement félicité pour sa pub que je faisais dans mon canard et qui attirait bon nombre de personnes vers son ministère prophétique. Une enveloppe pour moi et l’autre pour mon directeur de publication. Il y avait deux cent mille Francs dans mon enveloppe. J’éprouvais une joie enivrante en sortant du bureau quand la secrétaire me dit :
– Coco, tu m’invites ce samedi ?
– Euh… Oui ! Avec plaisir !
Je n’arrivais pas à croire qu’une fille chrétienne puisse agir comme une fille dévergondée en invitant un homme. Néanmoins, j’étais impatient qu’arrive le jour de notre rencontre. En sortant de l’Eglise, je croisai l’un des pasteurs de Docteur Emassétché, du nom de Tuku. Ce pasteur m’interpella pour me dire qu’il avait un message pour moi de la part de L’éternel son Dieu. Il me révéla que Docteur Emassétché était un faux homme de Dieu ! Tous ses miracles étaient du cinéma et montés de toutes pièces. Je n’étais pas étonné de ces propos car je m’étais déjà fait une idée de ce prophète. Pour moi, c’était un arnaqueur mais je rédigeais tous ces faux témoignages pour le pognon. D’ailleurs, je ne croyais pas en Dieu. Alors le pasteur me dit :
– Bienaimé, Éternel est vivant et me charge de te dire que Tes mains qui élèvent ce mauvais serviteur de Dieu aujourd’hui dans le mensonge vont le rabaisser dans la vérité, demain ! Ce Dieu m’a demandé de quitter ce ministère qui n’est rien d’autre qu’une caverne de voleurs !
Après m’avoir dit ces choses que je ne comprenais pas bien, le pasteur Tuku me demanda de ne pas parler de notre conversation au Docteur Emassétché sinon cela serait au prix de sa vie ! Je rassurai ce dernier de ne rien dire car cela n’était pas mon affaire.
Le samedi, Julia était venue, encore plus belle dans ses habits, bien parfumée. Après avoir mangé un bon plat, nous avons bu du très bon vin et Julia s’enivra. Je fus obligé de la conduire chez moi pour passer la nuit. Je ne voulais pas la toucher mais cette fille, dans la nuit, m’excita et je couchai avec elle. Au petit matin, sa colère s’enflamma contre moi et elle quitta ma maison en me disant que j’avais abusé d’elle.
Docteur Emassétché me convoqua dans son bureau en présence de Julia. Il me dit que j’avais mal agit devant Éternel et que je devrai réparer ce tort. Je pensais qu’il allait me dire de payer une amande or c’était pour m’annoncer une très bonne nouvelle. Je devrai épouser Julia pour l’avoir déshonorée. C’était la première fois dans ma vie que j’étais face à une sanction qui me donnait la joie au cœur parce que j’étais très amoureux de Julia. Docteur Emassétché m’assura de me donner les moyens pour ce mariage et autorisa Julia à vivre avec moi.
Quelques semaines plus tard, allait se produire ce scandale qu’avait prophétisé le pasteur Tuku ! Mon directeur de publication fut convoqué à la police pour avoir diffusé un faux témoignage dans son journal, au sujet d’un miracle du Docteur Emassétché. Mon chef, très en colère, me demanda, pour la prochaine parution, de barrer à la une de notre journal avec ce titre : « Docteur Emassétché, un arnaqueur ! » et j’écrivis aux lecteurs pour dire que c’était une arnaque, ce témoignage où Docteur Emassétché avait permis par ses prières à une femme de soixante ans de mettre au monde un enfant et qui avait barré la couverture de notre précédente parution !
Comment l’affaire avait mal tourné pour Docteur Emassétché ? Une dame de soixante ans qui avait rendu ce faux témoignage d’avoir eu un enfant à cet âge très avancé ? Elle avait pris l’enfant d’une jeune fille qu’elle connaissait dans son quartier, pour le faire passer pour le sien. Malheur pour cette sexagénaire ! La vraie mère de l’enfant allait porter plainte contre cette fausseté.
J’étais dans la confusion face à cette prophétie du pasteur Tuku qui s’était avérée ! Parce que ma plume qui faisait les éloges de Docteur Emassétché, dans le mensonge, venait de le défaire dans la vérité ! Je devais, maintenant, admettre que son Dieu, L’Éternel des armées était vivant et j’avais du mal à y croire parce que je me demandais pourquoi ce Dieu laissait la mauvaise foi dans sa maison. Le pasteur Tuku allait me répondre :
– Bienaimé, L’Eternel est un Dieu compatissant, lent à la colère, et riche en bonté ! Il donne le temps à chacun d’aller à la repentance et d’être sauvé de la mort ! Et si Docteur Emassétché ne change pas, il sera servi selon ses œuvres pécheresses et sa place sera dans le lieu des lamentations !
Le Docteur Emassétché récidiva ! Il me reçut dans son bureau pour m’amadouer. Il décida de réaliser mon rêve ! Il financerait mon entreprise de presse et j’aurai, à moi, un journal qui paraitrait. Et aussi, il accélérerait les préparatifs de mon mariage avec sa secrétaire Julia.
Je donnai ma démission au journal et je demandai, dans la discrétion, à certains de mes collègues journalistes de se préparer à me suivre car j’allais les débaucher, pour le canard qu’allait financer pour moi Docteur Emassétché.
Mais voilà que le pasteur Tuku allait me troubler en révélant que ma future épouse était la maîtresse de Docteur Emassétché. Les deux choisissaient cette retraite spirituelle au Mont Affiêkou, pour passer leur moment de plaisir sexuel au lieu de la prière. Je reçus un grand choc car Docteur Emassétché devait aller, effectivement, en retraite spirituelle avec ma fiancée ce week-end au Mont Affiêkou. Je ne pouvais pas retenir mes larmes et je pleurai comme un gamin mais je ne pouvais pas donner les raisons de mes pleurs à Julia. Elle prit alors mon téléphone et vit que j’avais communiqué avec le pasteur Tuku. Elle voulut savoir ce que nous nous étions dits mais je ne lui dis rien.
Le lendemain, Docteur Emassétché me convoqua dans son bureau. Sous la pression, Je lui avouai que c’était le pasteur Tuku qui m’affligeait par cette révélation de sa relation amoureuse avec Julia. Docteur Emassétché démentit cette relation amoureuse avec sa secrétaire, ma futur épouse et me dit que Dieu lui avait révélé que le pasteur Tuku était possédé par un esprit de mensonge et qu’il courait à sa perte. Il tira de son tiroir une liasse de billets de banque qu’il me remit et me promit une voiture après mon mariage.
Deux semaines plus tard, le pasteur Tuku fut retrouvé mort dans le fleuve. L’on raconta qu’il avait été précipité dans l’eau par des démons. Je fus saisi par la terreur en apprenant la mort du pasteur car il m’avait dit que c’était au prix de sa vie que je rapporterais ses dires au Docteur Emassétché.
J’étais inconsolable. Je me sentais coupable de la mort de ce pasteur innocent. Pour moi, il n’y avait pas de doute, c’était Docteur Emassétché qui l’avait tué. Je me voyais aussi dans un gros piège qu’il m’avait tendu. J’avais peur qu’il ne me tue aussi. Je savais trop de choses sur les pratiques pas catholiques de ce faux serviteur de Dieu. Je voulais quitter cet homme méchant mais j’hésitais car il avait déjà déboursé l’argent pour prendre les locaux de mon journal et avait engagé les dépenses de mon mariage avec sa secrétaire, sa maîtresse, dans les prochains jours.
Docteur Emassétché vint chez moi prendre sa secrétaire pour aller à la retraite spirituelle. Il devait me déposer dans les locaux du journal, en préparation, avant de continuer la route vers le Mont Affiêkou, où j’étais convaincu qu’il allait coucher avec ma future femme. Mes larmes coulaient pendant que nous étions tous les trois dans la voiture. J’étais assis à côté de Docteur Emassétché qui me demanda la raison de mes pleurs et je lui dis que j’avais peur pour ma vie. J’étais tellement apeuré que je luis dis que je ne voulais pas mourir comme le pasteur Tuku. Sa colère s’enflamma contre moi parce que je le tenais pour responsable de la mort du pasteur Tuku. Il leva la main, en me giflant du revers de sa main droite. Ce mouvement l’amena à perdre le contrôle de sa voiture, à vive allure, qui fonça sur un gros camion. La collision nous plongea tous les trois, occupants de la voiture, dans l’obscurité.
Du coup, nous arrivâmes, tous les trois, dans un couloir qui débouchait sur un trou béant. C’était un lac de feu à perte de vue, rempli de personnes hurlant de douleur.
Une lumière nous apparut devant ce gigantesque chaudron et nous, en file indienne. Docteur Emassétché, tête de file, plaida sa cause, en disant qu’il avait travaillé pour le Seigneur Jésus et avait gagné des âmes et chassé des démons. Une voix sortie de la lumière lui répondit :
– Docteur Emassétché, toi, l’ouvrier d’iniquité, je ne t’ai point connu ! Maintenant, ta place sera dans le lieu des lamentations !
Docteur Emassétché descendit dans les flammes de cette géhenne, avec des cris terrifiants et je me souvins des propos du pasteur Tuku. C’était au tour de Julia qui pleurait, en sentant la chaleur brulante de cet enfer. Et la voix dans cette lumière lui dit :
– Femme Jézabel, toi qui as fait tuer mon serviteur, le pasteur Tuku, avec la complicité de ton amant, docteur Emassétché, ta place sera dans le lieu des lamentations !
Julia s’avança et descendit dans les flammes, poussant des cris de douleur. Arriva mon tour de descendre dans le feu. Je fis un pas en avant quand la lumière devint plus intense devant moi, en se rapprochant de moi, pour me barrer la route ! Je fermai les yeux et me prosternai :
– Ô Seigneur! J’ai entendu parler de toi, de ta grandeur et de ta puissance insondable ! Mais voilà que tu te présentes à moi. Je ne suis vraiment pas digne d’être devant ta sainte face, moi, un pécheur ! J’ai honte de moi ! J’ai fait le mal avec ces deux damnés, en contribuant à la propagande du mensonge dans ton église et j’ai été aussi coupable dans le meurtre de ton vrai oint le pasteur Tuku ! Maintenant, tue-moi, pour que justice soit faite !
Alors, la chaleur devint plus intense, et je me disais que mon âme était en train de rejoindre les docteur Emassétché et sa maîtresse Julia en enfer mais non, j’allais entendre la voix miséricordieuse :
– Tu ne mourras pas mon bienaimé ! Parce que tu as manqué d’intelligence pour ne pas t’éloigner du mal. Tu as manqué aussi de connaissance pour connaître mes lois afin d’échapper à la bouche de la mort, ouverte pour avaler les pécheurs qui ne se repentent pas. Maintenant que j’ai vu ta sincérité dans ta repentance, je t’accorde la vie. Va et témoigne que moi Éternel, le Dieu qui a créé les cieux et la terre, je suis vivant !
Je voulus ouvris les yeux pour voir qui me pardonnait mes péchés et me redonnait la vie, mais la lumière était trop forte et m’aveuglait. Alors, les yeux fermés, je demandai ceci:
– Ô Seigneur, à quoi reconnaître-je que c’est toi qui m’a vraiment parlé, dans cette lumière aux portes de l’enfer ?
Alors, la voix me répondit :
– Quand l’on dira de toi, le miraculé, tu sauras que je suis L’Éternel, le Dieu vivant !
A cet instant, mes yeux, péniblement, s’ouvrirent et je vis que tout était flou autour de moi. Avec un peu plus de lisibilité dans ma vue, je vis que j’étais transporté sur un brancard, Le cou raidi par une prothèse. L’on me mettait dans l’ambulance. Je fus stupéfait en voyant le bolide de Docteur Emassétché broyé par le gros camion, où, lui et sa maîtresse Julia ont péri.
L’un des brancardiers, étonné de me voir sortir de ce tas de ferraille en vie, me dit :
– Monsieur, vous êtes un véritable miraculé !
– Oui, Un miraculé renvoyé à la vie aux portes de la mort ! Gloire à Éternel, le Dieu vivant ! Ai-je répondu.
On l’a donné gratuit Ne le retiens pas, donne-le gratuitement en PARTAGEANT! Ne nous laissons pas surprendre par le retour de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Merci de partager !
Éternel est vivant !
Que ton intelligence s’ouvre sur sa parole pour t’éloigner du mal ! Que tu sois instruit sur ses commandements pour fermer les portes de l’enfer sur ta vie ! Et que ton cœur ne s’endurcisse pas pour aller à la repentance afin de marcher dans la nouvelle alliance avec le Christ !
J’ai prié pour toi, au nom de Jésus-Christ !
NB: BIEN AIMÉ LES TEMPS SONT FINIS !!!
TON SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST EST À LA PORTE . PRÉPARE TOI POUR LES DERNIÈRES TROMPETTES.
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